LACONGOLAISE 242

Un  voyage dans le Congo profond

Chaque 26 septembre, l’humanité célèbre la journée mondiale de la contraception

Chaque 26 septembre, l’humanité célèbre la journée mondiale de la contraception

La contraception désigne l’ensemble des moyens utilisés permettant à une femme en phase de procréation de ne pas tomber enceinte lors d’un rapport sexuel. Ainsi, existe-t-il plusieurs méthodes contraceptives parmi tant d’autres : les préservatifs (masculin et féminin), les pilules, les injectables,…

Chaque 26 septembre, l’humanité célèbre la journée mondiale de la contraception suite au constat tragique du nombre croissant de grossesses non désirées et des avortements clandestins.

Le Mouvement Action Jeunesse (MAJ/CONGO), une entité de l’ACBEF (association congolaise pour le bien-être familial) n’est pas resté en marge de cette illustre journée puisque œuvrant dans la santé sexuelle et reproductive.

Une mobilisation de trente-cinq (35) jeunes de ce mouvement s’est fait remarquer dans quelques quartiers de la ville de Brazzaville. A  quelle fin a été cette mobilisation ?

«  La mission du MAJ pour cette journée était de sensibiliser la population sur les différentes méthodes contraceptives et de favoriser un accès facile au préservatif grâce à la DBC  » stipule JYER MAGNONDO, Point Focal National du MAJ.

Pour cette année, le thème était ‘’ma vie, mon corps, mon choix’’. A travers cette thématique, les jeunes y compris les femmes en âge de procréer, peuvent prendre le contrôle  de leur corps et de leur vie en faisant le choix d’adopter une méthode contraceptive qui limitera les grossesses non désirées.

Lors de cette activité, les jeunes ont eu à céder les préservatifs (03 à 25Fcfa) et les PCU (pilule contraceptive d’urgence) à 1500Fcfa l’unité.

Tout compte fait, le Point Focal National du MAJ a terminé ses propos en lançant un message aux jeunes en ces termes : « j’encourage tous mes amis jeunes, filles comme garçons, d’adopter une méthode contraceptive pour leur permettre de prévenir les grossesses précoces et non désirées(…). Il n’y a plus question d’avoir honte de se procurer un préservatif ou d’aller dans un centre de planification familiale (…). Adopter une méthode contraceptive c’est planifier l’avenir. »

Par AKIM LE NEGRO

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rédaction