LACONGOLAISE 242

Un  voyage dans le Congo profond

HENRI GERMAIN YOMBO UN DES BAOBABS DANS LAPROMOTION CULTURELLE ET ARTISTIQUE EN REPUBLIQUE DU CONGO

HENRI GERMAIN YOMBO UN DES BAOBABS DANS LAPROMOTION CULTURELLE ET ARTISTIQUE EN REPUBLIQUE DU CONGO

𝗛𝗲𝗻𝗿𝗶 𝗚𝗲𝗿𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗬𝗼𝗺𝗯𝗼, alias 𝗕𝗲𝗲𝘁𝗵𝗼𝘃𝗲𝗻 patron du 𝗚𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲 𝗽𝗲𝗹𝗹𝗮 𝗬𝗼𝗺𝗯𝗼 dit 𝗚𝗣𝗬 en single, est l’un des baobabs dans la promotion culturelle et artistique en Rep du Congo.

Ce natif de𝗠𝗮𝗸𝗼𝘂𝗮, se lance dans la promotion culturelle et artistique au milieu des années 𝟭𝟵𝟳𝟬 à Brazzaville précisément à Poto-poto en organisant des concerts, produisant tour à tour, au dancing bar 𝗖𝗵𝗲𝘇 𝗕𝗼𝘂𝘆𝗮 des musiciens comme 𝗣𝗮𝗽𝗮 𝗪𝗲𝗺𝗯𝗮, 𝗘𝘃𝗼𝗹𝗼𝗸𝗼, 𝗙𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗱 𝗠𝗮𝗯𝗮𝗹𝗮, 𝗗𝗮𝗿𝗼𝗻 𝗠𝗮𝘀𝘀𝗶𝗸𝗮 𝗲𝘁 𝘀𝗼𝗻 𝗴𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲 𝗥𝗮𝘀 𝗞𝗲𝗯𝗼, etc.
𝗟𝗲𝘀 𝘀𝗮𝗻𝘇𝗮𝘀, 𝗙𝗲𝘀𝘁𝗶𝗰𝗼𝗰𝗼, 𝗹𝗮 𝗻𝘂𝗶𝘁 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼 𝗮… ?, sont là en substance les concepts qui caractérisent l’ADN du GPY

𝟭-𝗟𝗘𝗦 𝗦𝗔𝗡𝗭𝗔𝗦 :
Le Trophée des créateurs, un concept initié pour combler le vide constaté en Rep du Congo en matière de prix d’encouragement culturel. Le concept a tenu sa dix-huitième édition en décembre 2021.

2-𝗟𝗲 𝗙𝗲𝘀𝘁𝗶𝘃𝗮𝗹 𝗖𝗼𝘂𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼 (𝗙𝗲𝘀𝘁𝗶-𝗖𝗼𝗰𝗼) :
créé en 2008, 𝗙𝗘𝗦𝗧𝗜𝗖𝗢𝗖𝗢 se veut être à l’occasion de la célébration de la fête de l’indépendance un moment où les rythmes et danses du Congo profond, sont mis sur orbite. Un vrai moment d’exaltation des valeurs musicales enfuies dans le Congo profond.

3- 𝗟𝗔 𝗡𝗨𝗜𝗧 𝗗𝗨 𝗖𝗢𝗡𝗚𝗢 𝗔… ?
C’est la promotion et la vulgarisation de l’identité culturelle du Congo dans le monde. Accompagner la diplomatie de l’État et vendre une image positive du pays à l’étranger. La treizième édition a eu lieu à Dubaï à l’occasion de l’exposition universelle de Dubaï (décembre 2021).

Le 14 décembre 2007, Henri Germain Yombo est désigné commissaire général du Fespam (Festival panafricain de musique), par note n°660 du 14 décembre 2007, du ministre de la Culture et des Arts, Jean-Claude Gakosso.

Son dévouement pour son pays a secoué la sensibilité de la présidence de la République et l’a élevé à 𝗹𝗮 𝗗𝗶𝗴𝗻𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗢𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗼𝗿𝗱𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗱𝗲𝘃𝗼𝘂𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗖𝗼𝗻𝗴𝗼𝗹𝗮𝗶𝘀 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟭𝟴.

Nous saluons son implication pour le rayonnement de la culture congolaise car une nation vit et vibre par la vitalité de l’expression culturelle de son peuple.

Patchell Massivi

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rédaction