“SEXTO” PREMIÈRE AVENTURE CINÉMATOGRAPHIQUE DU RÉALISATEUR BIG KLOZ
Prince BALOUBETA dit « BIG KLOZ » a présenté au public congolais son premier court-métrage intitulé « SEXTO » , dans la salle de spectacle de l’Institut Français du Congo remplie comme un œuf le samedi 16 février 2019 dernier.
Plus connu et considéré de nos jours comme un des meilleurs de sa génération dans la réalisation des clips vidéos et des spots publicitaires de qualités, ce passionné de la vidéo, qui depuis fin 2018 s’est lancé à la conquête de nouveaux horizons, notamment celui de la réalisation cinématographique, a mis sur pied Congo FILMS FACTORY, une structure dédiée à la production et à la promotion des œuvres cinématographiques. Faire du Congo un pays producteur de films et de séries télévisées est l’une des missions que s’est fixée cette structure.
Ainsi, a vu le jour en début de cette année son premier court-métrage intitulé « SEXTO » et présenté officiellement au public le 16 février 2019 à l’IFC. SEXTO est un film qui relate et qui édifie le public en particulier la jeunesse sur les dangers du phénomène « sextape ».Une pratique qui consiste à se partager des images (photo et vidéos) intimes sur les réseaux sociaux pour pimenter d’avantage sa relation amoureuse. Ce film a été bien apprécié du public, qui d’ailleurs a demandé une suite à son producteur. BIG KLOZ, par contre, a promis lors de son speech, le tournage de quatre autres courts-métrages inédits pour cette année 2019 sauf imprévus. Le public n’a pas tari des mots pour encourager le réalisateur sur le choix de la thématique développée et surtout pour la qualité de l’œuvre, fruit de sa toute première réalisation cinématographique.
SEXTO sera en projection sur Pointe-Noire, Kinshasa et fera des festivals, a précisé le réalisateur.
Il faut noter que le cinéma est une grande industrie qui nécessite un accompagnement adéquat pour permettre aux cinéastes congolais de s’épanouir selon les règles de l’art et au congolais lambda de développer avec une bonne note les métiers connexes au cinéma. Le squelette du cinéma congolais prend sa forme au fur et à mesure et mérite une attention toute particulière des mécènes ainsi que des décideurs
AKIM LE NEGRO/La Congolaise 242