L’INSTITUT FRANCAIS DU CONGO UN VERITABLE POUMON DE PROMOTION CULTURELLE EN EN TERRE CONGOLAISE
L’institut français du Congo (IFC) en sigle, est un imposant espace de référence dans la promotion culturelle en terre congolaise. Il a été constitué en 2011, bien que son bâtiment principal de Brazzaville fut inauguré officiellement le 18 décembre 1994 sous le nom de Centre Culturel Français.
Ainsi, cette maison de culture participe activement dans le rayonnement de la culture congolaise à l’internationale, en créant des évènements à visée nationale, régionale selon les projets.
Avec environ 300 évènements culturels de haute facture l’année, plusieurs artistes congolais ont vu leur carrière décoller grâce à ce centre et d’autres y ont fait leur première scène selon les normes.
Doté de matériels, des infrastructures répondant aux normes internationales, l’institut français du Congo est une vraie plateforme d’expression artistique, un véritable oxygène pour les artistes congolais de toutes sensibilités artistiques. Cette arène culturelle permet aux artistes de s’exprimer selon les règles de l’art, pour peaufiner davantage leur talent…
En effet, l’IFC est divisé en deux antennes à savoir : l’institut français de pointe -noire et celui de Brazzaville situé dans le 2ème arrondissement Bacongo respectivement sous la responsabilité de Gaelles METELUS et de Regis SEGALA dont la politique culturelle reste la même.
L’Institut français qui est l’opérateur de l’action culturelle extérieure de la France, est placé sous la tutelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Il est chargé, dans le cadre de la politique et des orientations arrêtées par l’État, de porter une ambition renouvelée pour la diplomatie d’influence. Ses missions sont la promotion de la langue et des cultures françaises, francophones et congolaises et l’accompagnement du secteur artistique congolais.
Ainsi, la construction des salles de spectacles et centre culturel selon les normes et bien équipés s’impose à nous pour impulser une nouvelle dynamique à la vie culturelle congolaise qui souffre d’un manque criard d’infrastructures à la hauteur de la richesse de la culture du Congo.